Histoire initialement publiée dans le Plan K n°13, Décembre 1998
Marco sort d’un magasin de caoutchouc avec un paquet, et caoutchouté de noir des pieds à la tête, il rentre chez lui, sous la pluie, en rabattant son capuchon. Il ouvre sa porte, rejette le capuchon d’un coup de tête et entre dans sa chambre, que la caméra balaye: lit couvert de latex noir, étagères remplies de bottes de caoutchouc, une douaine d’imper caoutchoutés pendus, divers vêtements de latex noir et accessoires de latex (gants, godes, etc). Au dessus du lit, grande photo d’un mec en cuissardes en train de se branler. Marco ouvre son paquet rapidement et en sort une paire de cuissardes noires qu’il respire d’abord avec passion, puis il commence à les lécher à petits coups de langue. Il déboutonne complètement son ciré. Dessous il porte un jean en latex noir et un débardeur en latex noir également, largement échancré au niveau des seins. D’une main, il commence à se branler les tétons, de l’autre il caresse le caoutchouc des cuissardes. Puis il commence à se frotter les tétons contre le caoutchouc des bottes, d’abord doucement, puis plus vite, et entame une longue masturbation des seins, ponctée de gémissements de plaisir. Il caresse sa braguette fortement gonflée et se débarrasse aussitôt de ses petites bottes de caoutchouc et de son pantalon. A poil, avec juste un débardeur, il frotter les cuissardes contre ses zones érogènes, ses seins, ses couilles, sa queue. Il se roule sur son lit en faisant carrément l’amour avec ses cuissardes, et il offre à la caméra son anatomie sous tous ses angles. Il frotte son gland baveux sur la tige d’une cuissade en laissant une longue trace humide, et en même temps il écarte, avec le pied de l’autre botte, sa raie du cul, pour se chatouiller le trou avec.
Il enlève ensuite son débardeur et, cette fois complètement à poil, il se frotte dans toutes les positions contre ses cuissardes. Il frotte ses tétons, sans ménagement, avec les semelles crantées de ses bottes jusqu’à ce qu’ils soient rouges et presque tuméfiés. Enfin, au bord de l’orgasme, il respire encore avec délice l’intérieur de ses cuissardes non doublées et volupté suprême, il les enfile lentement l’une après l’autre, tout en exposant bien son trou du cul qu’il va se mettre à branler, d’abord avec ses doigts qu’il gante de caoutchouc, puis avec un gros gode, qu’il suce, qu’il frotter sur ses tétons, et qu’il lubrifie soigneusement. Alors, couché sur le dos, les cuissardes levées, d’une main il se branle les tétons, et de l’autre il se branle le cul avec le gode, tout en gémissant de plaisir. Au bout d’un moment, il enlève le gode, se lève et va choisir dans les impers qui sont accrochés celui qui lui plait le plus, après les avoir touchés et respirés. Il choisit finalement un imper militaire kaki, caoutchouté à l’intérieur, avec un grand capuchon, et l’enfile avec volupté. Il le boutonne, et ainsi, nu sous son imper, avec juste ses cuissardes, il ressort de chez lui. Encore un fois, silouhette encapuchonnée, il part dans la nuit, sous la pluie.
Arrivé près d’une pissotière, il marche de long en large près de l’entrée, en se tripotant la queue qui fait une bosse sous l’imper. Un mec en ciré jaune et pantalon de cuir en sort en se reboutonnant et lui dit “Tu veux ma main ?” – “Pourquoi pas ?” et Marco entre suivi du garçon. Dans l’ombre de la pissotière, il ouvre largement son imper et offre sa queue raide au garçon. Celui-ci lui empoigne la bite, et dit “Tu veux me la mettre dans le cul ?” – “Si tu me payes bien” – “Merde alors, t’es une vraie pute, toi. Regarde mon cul, c’est toi qui devrais me payer”. Il baisse son froc de cuir, et se penche en relevant son ciré jaune, en montrant son cul ouvert. Marco passe sa main dans la raie du garçon, lèche ses doigts et dit au garçon “Si tu veux que je t’encule, mets-moi une capote”. Le garçon s’exécuté, met du lubrifiant. “Maintenant fous-toi la dans le cul”. Gros plan de l’introduction, puis quand la pénétration est complète, les deux mecs se secouent au rythme des coups de cul de Marco.
Très occupés, ils ne voient pas un autre mec en bottes en caoutchouc vertes sur le seuil de la pissotière, qui contemple la scène, ouvre la braguette de son jeans douteux et commence à s’astiquer. Marco qui vient de décharger se retire peu après et voyant le mec qui se branle, lui dit “Si tu prèfères te faire sucer, c’est facile, c’est 50 francs !”. Le mec acquiesce en écartant son imperméable et Marco se met à genoux devant lui et prend sa queue dans sa bouche. Le garçon qu’il vient d’enculer assiste à la scène et sort également sa queue raide. Marco lui fait signe d’approcher et, toujours à genoux, il suce alternativement les deux garçons. Puis il leur fait signe de s’approcher l’un de l’autre et il arrive à mettre les deux queues dans sa bouche en même temps. Les deux garçons, rapprochés, s’enlacent et se roulent un patin. Enfin ils finissent par décharger presque ensembles dans la bouche de Marco. Les deux garçons soulagés s’en vont, et Marco ressort et reprend sa faction à la porte de la pissotière.
Un marin passe, en ciré noir et bottes en caoutchouc noires également. Il lance un coup d’oeil à Marco, et entre. Marco le suit. Brève discussion, le marin lui met un billet dans la main. Marco se retourne, relève son imper jusqu’aux reins et offre son cul nu au-dessus des cuissardes. Le marin le pelote; ils s’embrassent longuement, puis Marco se met en position pour se faire enculer commodément. Capote, lubrifiant, enculage, tout se déroule comme il faut jusqu’à l’orgasme du marin. Divers autres participants peuvent encore se présenter…
Enfin Marco quitte la pissotière et rentre chez lui, toujours sous la pluie, capuchon rabattu. Il double deux garçons, l’un en ciré noir, l’autre en pantalon et anorak caoutchoutés, tous deux bottés de caoutchouc. Il leur lance un long coup d’oeil en passant. L’un dit “C’est ma touche !”, l’autre ajouter “Non, c’est ma touche à moi”. Tout en blaguant, ils rattrapent Marco qui se laisse draguer et ils l’entrainent dans une espère de garage dont ils ont la clef, dans un endroit désert. La porte refermée à clef, l’un di à Marco “Maintenant on va te faire ta fête”, “Et tu peux gueuler, ici on est tout seuls”. L’autre soulève l’imper de Marco et avec un sifflement presque admiratif: “Regarde ce cul, il est à poil là-dessous”. Il le prend sous son bras et commence à lui administrer une fessées retentissante. Quand les fesses de Marco sont rouges, il le lâche “Allez, enlève ton imper !”. Marco se déboutonne lentement et comme il est en pleine érection “Ah ! La fessée ça te fait bander salope !”.
Ils lui enlèvent son imper et Marco reste nu avec ses cuissardes. Avec une ficelle, ils lui attachent les poigets en l’air à un crochet qui sort du mur. Totalement à leur merci, Marco doit obéir à toutes les injonctions “Ouvre ta bouche” et ils lui crachent dedans. L’un sort sa queue et se met à pisser dans une cuissarde de Marco, toujours en érection d’ailleurs, puis l’autre en fait autant. “Maintenant on va s’occuper de tes seins” dit un garçon, en tirant violemment sur les deux touffes de poils des tétons. Marco pousse un cri de douleur. Aussitôt, ils prennent le capuchon de son imper et le lui rabattent jusqu’au menton en l’attachant bien serré.
Le travail des seins commence, avec les ongles, des limes, des pinces, etc ponctué des gémissements de Marco, étouffés par le capuchon, gémissements de douleur et de plaisir aussi, car Marco bande toujours fortement. Pendant que l’un lui travaille les seins, l’autre lui tire sur les couilles et lui décalotte le gland pour le branler. Les deux mecs commencet à être excités aussi: l’un d’eux écarte son ciré pour montrer une bosse sous son pantalon, l’autre en fait autant en empoignant sa queue déjà raide dans son pantalon. Echangeant un clin d’oeil complice, l’un dit à l’autre: “On va l’attacher sur la table”. Ils détachent Marco toujours encapuchonné et le font mettre à plat ventre sur une table, en lui attachant les poignets et les chevilles aux quatre pieds de la table. Les deux mecs admirent son cul bien ouvert au-dessus des cuissardes et ses couilles qui pendent.
L’un décroche un martinet qui est pendu au mur et commence à cingler Marco sur les fesses. Marco se tord et gémit. L’autre garçon dit “Putain, ça me fait bander” et sort sa belle queue qu’il commence à caresser. L’autre arrête la flagellation, sort aussi la queue raide, et prenant le martinet par le manche dit “On va lui foutre ça dans le cul”. Il fouille dans la poche de Marco, en tire une boite de capotes et de lubrifiant. Il passe du lubrifiant sur le manche du martinet et l’enfonce profondément dans le trou du cul de Marco qui pousse des grognements de douleur sous son capuchon. “Enlève le manche” dit l’un, “On va plutôt l’enculer”. Aussitôt dit, aussitôt fait. Le garçon au ciré noir et bottes en caoutchouc noires se met une capote, du lubrifiant et encule Marco avec un plaisir évident. L’autre baisse sa culotte de caoutchouc – il n’a pas de slip-, relève le capuchon de Marco, et lui montrant ses fesses ouvertes à la hauteur du nez, lui dit “je viens de chier, nettoie moi le fion”.
Marco attaché, enculé par l’autre, s’exécute: il lèche la raie poilue, les poils merdeux, et le garçon, même, lui pète dans la bouche. En même temps, Marco donne des coups de cul pour faire jouir le mec qui l’encule et qui crie enfin “Ah ! Putain, je jouis !”. Ensuite, l’un prend la place de l’autre, et Marco, enculé par l’autre, nettoie le cul de celui qui vient de l’enculer. Finalement, les deux mecs, calmés, détachent Marco, toujours nu, avec seulement ses cuissardes et son capuchon, et pelotent ce corps qu’ils viennent de posséder.
L’un lui roule longuement un patin, et l’autre, lui enfonçant un doigt dans le cul, conclut “Une mec, c’est quand même pas mal non plus”.
Marc “La Capuche”