Article initialement publié dans le Plan K n°13, Décembre 1998
Je vais vous narrer, ici, une histoire réellement vécue, et que je suis prêt à recommencer quand j’aurais trouvé le partenaire idéal.
J’avais l’habitude de pianoter sur le 3615 N..*B.., mais comme j’étais très exigeant et sûrement trop précis et trop difficile dans les conditions d’acceptation des candidats, j’avais énormément du mal à trouver mon bonheur. Or un jour, un autre connecté, particulièrement excité par ma C.V. me contacta de nouveau et m’assura qu’il voulait vraiment me rencontrer. Ma Carte de Visite ? La voici:
JMEC AVEC SLING
29 ans 172 59 bld tr-crt yxvert imb bm
ékipé LATEX, CUIR, MATOS & SLING
Ch Jmec actif bm pr bbz réelle branché ékipement
reçois, plan direct, avec TRIP. SSR IMPERATIF
Je l’envoyais promener, mais il revint à la charge. Il mit une condition: que lui soit tout en latex d’emblée et que je le reçoive moi aussi tout en latex. Cette idée même le faisait bander un max. Son message ne pouvait pas rester sans réponse. Je lui fixais donc un rendez-vous pour l’après-midi même, en exigeant de lui qu’il mette son latex de suite et que je ferais la même chose après m’être fait un lavement. Il acquiesça et coupa son Minitel. Je fis de même. Une fois le lavement effectué, et après avoir mis un cockring, un chaps, un tee-shirt, un jock-strap et des bottes, le tout en latex, j’attendis. Il était 10h00 du matin.
A 14h00, la sonnerie de l’interphone retentit. Je réponds, c’était lui. J’allais ouvrir:
– Salut
– Salut, ça colle ?
– Ouais !
Pas un mot de plus, et nous descendons à la cave, où j’ai installé mon sling et préparé tout le matos sur un meuble prévu à cet effet, ainsi que les capotes, le gel et bien sur deux bouteilles de TRIP. Lumières de bougies, sol plastic noir et jaune et affiches du QG Bar et de Regulation au mur: voila le décor planté.
Arrivé en bas, il retira son bombers puis ses bottes en caoutchouc et son pantalon ample en latex. En dessous, une véritable merveille noire brillait: un pantalon latex avec gaine pour la queue, débardeur laissant n’apparaître que les pectoraux, grosse ceinture avec gants glissés dedans. Il remit les bottes en caoutchouc.
Le gars ? Une trentaine d’années, pas très grand, sportif, peu poilu, brun, des yeux marrons. Il avait apporté un sac de sport. Il l’ouvre et en sort une belle collection de jouets, mais tous enveloppés de manière à ce que chaque objet soit secret jusqu’au bout. Il sors alors une cagoule, la talque et l’enfile; elle avait une fermeture derrière, ce qui lui facilitait le travail, mais des trous uniquement pour la bouche et le nez. Une fois celle-ci mise en place, je ne voyais plus rien… Rien ne pouvait m’exciter plus. J’entends alors qu’il fouille dans son sac… Ignorant ce qui m’attend, chaque bruit nouveau m’excite d’avantage.
Il me graisse le cul généreusement, et m’enfile quelque chose que je découvre au fur et à mesure. Il s’agit d’un plug, pas trop gros mais suffisamment pour que je le sente bien en moi. Il me travaille le cul un certain temps, que je ne peux déterminer, car dans le noir total, je perds la notion du temps. Il me sort ensuite la queue bandée, et la laisse sortie pour pouvoir me malaxer les couilles, fraîchement rasées.
Des bruits de sacs plastique retentissent une fois de plus… Il m’ordonne de me mettre à genoux. J’obéis immédiatement, sans même m’en apercevoir, moi qui suis plutôt dominateur en temps normal. Il saisit mes couilles et fixe quelque chose autour… Je n’entends que des bruits de chaînes et de pressions qui se ferment. Il me travaille de nouveau le cul avec le plug, de manière à ce que je n’oublie pas et cette fois-ci, il le sort et le rentre à plusieurs reprises, en m’insultant avec des trucs du genre:
– T’aimes ça salope… T’aimes qu’on te travaille le cul pour bien te l’ouvrir.
Je voulus lui répondre mais la cagoule m’était tombée sur la bouche et le latex s’était collé sur mes lèvres. Ainsi, lorsque je respire, l’air remonte dans la cagoule et me fait transpirer encore plus.
Soudain il me saisit par les aisselles et me relève très doucement. Je ne comprends pas tout de suite pourquoi. Ce n’est qu’une fois à moitié levé que tout fut clair pour moi. Mes couilles ressentirent vivement une pression lourde… et pour cause ! Il m’avait attaché un parachute lié à une chaine et, pour finir le tout, un poids.
Mes couilles sont alors tirées vers le sol, mais la sensation est nouvelle pour moi et géniale ! Tout en me travaillant le cul avec le plug, il me balance le poids suspendu, pour que mes couilles sentent encore mieux la présence du parachute. Une de ses mains me baisse la tête pour me la place à hauteur de sa queue, elle-même enveloppée de latex. Il m’obligea à me l’enfourner dans la bouche, à fond de gorge, puis à le pomper ainsi pendant 5 bonnes minutes.
Pendant ce temps, il enlève le plug, pour le remplacer par un plus gros mais pas plus large. Il avait compris que je pouvais prendre plus prodon mais pas du trop large, même si mes précédentes expériences m’avaient fait connaître le plaisir d’avoir deux queues dans le cul en même temps. Il me releva la tête, et fit balancer le poids toujours en place.
Le bruit de son sac se fit de nouveau entendre. Je sentis sa main glisser sous mon tee-shirt, et un contact froid se promener le long du torse. Il me caressait lentement les seins, ce qui me les fit bander. Une fois ceux-ci bien durs et tendus, je compris où il voulait en venir. Et mon idée fut de suite mise à l’épreuve car il me posa des pinces à seins. La douleur fut immédiate mais, très rapidement, estompée par le plaisir.
Il jouait avec la chaînette reliant les pinces entre elles, de façon à augmenter la jouissance recherchée. Il m’ordonna ensuite de me mettre à genoux, me donna un bon coup de popper, et m’enfila sa queue dans la gueule, à fond de gorge. J’eu la nausée, mais il me dit: T’en veux… tu vas en avoir ! Il me lima la gueule bien profondément, mais le contact du latex su mon palais ne pouvait que me fournir du plaisir en rapport à la force avec laquelle il me bourrait sévèrement.
Ensuite, il me releva, et me guida vers le sling, où il m’installa, les jambes bien en l’air et surtout bien écartées. Il m’attacha les mains aux menottes en cuir, accrochées là à cet effet. Il recommença à me travailler le cul avec le plug, qu’il retira d’un seul coup. Je sentis autre chose me titiller le trou… Je pensais que c’était un gode, mais la cagoule m’interdisait de voir, et je trouvais ça génial. Il me pénétra donc lentement la chose molle, et des pchitts se firent entendre. Je ne savais vraiment pas de quoi il s’agissait, mais le très proche avenir allait me le dire.
Effectivement la chose molle qu’il m’avait enfilé se durcissait à l’intérieur, c’était mon gode gonflable noir, celui que je préfère, surtout lorsqu’il est entre des mains expertes.
Il ne le gonfla pas au maximum, mais me travailla bien, en faisant des allers et retours. Puis il le défonfla, le regonfla, cela semblait bien l’amuser. La dernière fois qu’il le gonfla, il le gonfla tellement que j’ai bien cru que j’allais devenir une véritable baudruche. Il me laisse ainsi, et se remit à me travailler les seins. Il m’enleva les pinces, et me mordilla le bout des seins quelques peu abîmés par les pinces. Dans le même temps, je sentis qu’il dégonflait très lentement le gode.
Une fois ce dernier totalement dégonflé, il le retira, et vint le remplacer par sa queue, qui bandait un maxium. Vu la dureté de celle-ci, je pensais que son excitation devait être au maximum. Il me redonna du poppers, et me lima sans réticence, très vite et très fort.
D’un seul coup il me retira la cagoule, me laissa les mains attachées et me dit – je vais te faire jouir comme tu n’as jamais joui !
Et il pris mon gode simple, celui d’une vingtaine de centimètres, l’enduisit de gel et me l’enfila. Une fois bien en place, il me fila du poppers, je lui fis signe que non, il m’ordonna d’en prendre pour que je puisse jouir correctement. Je m’exécutai donc, et une fois que le poppers était arrivé au top de sa possibilité d’excitation, il se mit entre mes cuisses, me titilla le cul, déjà occupé par le gode, et me pénétra sa queue lentement.
Je hurlais de bonheur et de douleur en même temps, puis il me lima doucement. Sans que je sache pourquoi, une envie de pisser me prit, et je me suis pissé dessus. La sensation de la pisse coulant sur mon corps en latex, avec deux queues dans le cul en même temps, est indescriptiblement jouissante ! Surtout que je pissais en bandant. Il sortit sa queue de mon cul mais en prenant garde à ne pas faire sortir le gode, retira sa capote et me pissa dessus à son tour. La pisse coulait sur mon latex et tombait en partie dans mes bottes. Une fois que sa vessie s’était bien vidée, il renfila une capote et me renfila à mon tour, mais ce coup-ci sans ménagement. Et il me défonça comme jamais on ne me l’avait fait. La cadence ralentit. Il retira le gode, et me dit qu’il allait me cracher dans le cul.
Il prit une bonne dose de poppers et me lima correctement mais en essayant d’aller le plus profondément possible, comme s’il voulait me toucher les amygdales. Un cri puissant retentit, et je sentis sa capote gonfler en moi. Il resta en moi le temps de reprendre ses esprits, et me détacha les mains. Je commençais alors à me branler, lorsque je le vis se rhabiller… Je lui dis que moi aussi je voulais jouir ! Il me répondit: T’as déjà joui avec ton cul ! Pour moi cela suffit.
Je dus donc rester sur ma faim, mes couilles pleines et mes bottes trempées, obligé ensuite de me goder tout seul, en me branlant en repensant au plaisir extrème que je venais de découvrir.
Je me dis alors que mêmes les chiants du Minitel pouvaient se révéler être de très bons coups !
Alain
